Édito
D’ombre et de lumière
Rien n’est jamais très clair en affaires de cœur, et ce nouveau numéro de Jentayu évolue inévitablement entre ombre et lumière.
14 x 21 cm, 196 pages, ISBN : 979-10-96165-03-2
Un numéro consacré aux relations amoureuses, superficielles ou profondes, à la sensualité et à l’érotisme tels qu’ils sont vécus et écrits aujourd’hui à travers l’Asie, dans toute leur diversité, leur complexité… et leur ferveur.
Prix avec livraison comprise.
Rien n’est jamais très clair en affaires de cœur, et ce nouveau numéro de Jentayu évolue inévitablement entre ombre et lumière.
Sylvie Gentil, grande traductrice littéraire du chinois, s’est éteinte le 28 avril dernier. Son amie Brigitte Duzan lui rend hommage.
Brigitte Duzan nous présente l’écrivain Feng Tang, trublion des lettres chinoises et auteur d’une trilogie romanesque aux deux premiers volumes traduits par Sylvie Gentil.
La jeune artiste de spoken word Mae Yway est sur tous les fronts en ce moment. De Rangoon à Rotterdam, elle incarne la nouvelle scène poétique birmane, entre féminisme et nihilisme.
Un extrait de la traduction de la nouvelle Flamingo Valley de l’auteur singapourienne Amanda Lee Koe, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
L’universitaire portugaise Ana Margarida Ramos analyse pour nous l’œuvre du poète timorais Fernando Sylvan selon le contexte de la poésie lusophone du XXe siècle.
Marielle Morin nous présente le roman Panty de l’écrivain indienne Sangeeta Bandyopadhyay, avant de poser quelques questions à l’auteur sur son rapport à l’écriture.
Un extrait de la traduction du poème Et ainsi… février de l’auteure birmane Mae Yway, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Lin Yi-yun, l’auteur taïwanais de Cette nuit-là, répond à quelques questions concernant son parcours d’écrivain, d’éditeur, et ce qu’évoquent les sentiments exprimés dans sa nouvelle.
Un extrait de la traduction de la nouvelle Les yeux en éclipse de l’écrivain indonésienne Djenar Maesa Ayu, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction du poème 64 du poète timorais Fernando Sylvan, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Amanda Sherpa-Atlan nous présente l’écrivain népalais Samrat Upadhyay, auteur du recueil The Royal Ghosts, duquel est tirée la nouvelle éponyme publiée dans nos pages.
Brigitte Duzan retrace pour nous le parcours de l’écrivain chinoise Ren Xiaowen, nouvelliste et romancière reconnue, mais aussi femme d’affaires accomplie.
Un extrait de la traduction du poème Amour qui tourne mais ne forme pas un cercle complet de l’auteure birmane Mae Yway, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
La photographe bangladaise Shahria Sharmin présente son essai Appelez-moi Heena et les raisons qui l’ont poussée à documenter la vie des hijras d’Inde et du Bangladesh.
Un extrait de la traduction de la nouvelle Au bord de l’eau de l’auteur mongol Baast Zolbayar, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction du poème 13 de l’auteur timorais Fernando Sylvan, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Bertrand Mialaret replace l’œuvre de Guo Songfen dans le contexte de la littérature taïwanaise contemporaine et nous décrit le parcours de cet écrivain longtemps exilé aux États-Unis.