Numéro 10
Tourner les pages
Il existe une infinité de lendemains possibles. Tous ne sont pas de lointains lendemains : la minute qui vient, c’est déjà l’avenir…
14 x 21 cm, 224 pages, ISBN : 979-10-96165-15-5
Un numéro consacré au(x) monde(s) de demain dans les littératures contemporaines d’Asie. Futur immédiat ou lointain, paradis fantasmés ou dérives cauchemardesques : quand réalité et imaginaire s’entremêlent et élargissent le champ des possibles.
Prix avec livraison comprise.
Il existe une infinité de lendemains possibles. Tous ne sont pas de lointains lendemains : la minute qui vient, c’est déjà l’avenir…
Marcel Barang nous retrace le parcours du romancier et nouvelliste Chart Korbjitti, une figure incontournable de la scène littéraire thaïlandaise.
L’auteure taïwanaise Chang Hui-ching discute de son entrée en littérature, de sa prédilection pour le genre du sanwen et des des sources d’inspiration qui lui ont inspirée sa nouvelle.
Vina Jie-Min Prasad aborde ses écrits de science-fiction, la question de la place des littératures de l’imaginaire à Singapour et en Asie du Sud-est et de leur diversité.
La lecture en trois langues du poème « Ombres » de l’auteur philippin Rofel G. Brion, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
La lecture en trois langues du poème « Puits » de l’auteur philippin Rofel G. Brion, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
La lecture en trois langues du poème « Frisson » de l’auteur philippin Rofel G. Brion, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
La lecture en trois langues du poème « Cela viendra » de l’auteur philippin Rofel G. Brion, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
L’auteure malaisienne Saras Manickam se confie avec beaucoup d’humilité sur son goût pour l’écriture et son parcours personnel qui a mené à l’écriture de son essai.
Brigitte Duzan retrace pour nous le parcours de l’écrivain chinois Pan Haitian, dont les écrits s’inspirent parfois de la mythologie chinoise ou de littérature ancienne.
Christophe Macquet nous présente le jeune écrivain et acteur cambodgien Hang Achariya, auteur de la nouvelle Je viens de l’horizon, mais aussi de plusieurs autres nouvelles.
En cette période particulière d’épidémie et de post-confinement, nous vous proposons en exclusivité l’intégralité de la traduction de la nouvelle de Tang Fei.
Marie Laureillard présente le poète et peintre taïwanais Lo Ch’ing, qui partage avec nous sa conception de la science-fiction.
Un extrait de la traduction du poème « Le navire déserté dérive à sa guise » de l’auteur taïwanais Lo Ch’ing, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction du poème « Après l’arrivée des sociétés post-industrielles » de l’auteur taïwanais Lo Ch’ing, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction du poème « Le monde de l’Internet » de l’auteur taïwanais Lo Ch’ing, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction de la nouvelle « Archipel » de l’auteur indien Anil Menon, à découvrir en intégralité dans les pages de la revue.
Une présentation du travail photographique d’Harikrishna Katragadda, photographe indien intéressé par le procédé du cyanotype pour rendre compte de la pollution des eaux du Gange.
L’auteur turkmène Ak Welsapar aborde la genèse de son roman Le Cobra, son statut d’auteur exilé de longue date en Suède, et la question de la traduction de ses propres œuvres.
Le parcours de Zhang Xinxin nous est retracé en détail par Brigitte Duzan, et notamment l’écriture d’IT84, une novella entre autobiographie et science-fiction.
L’auteure chinoise de science-fiction Xia Jia évoque ses écrits imprégnés à la fois de culture scientifique et de magie et décrypte le concept de « science-fiction gruau ».
En bonus de lecture, la traduction du poème « Un OVNI est arrivé » de l’auteur taïwanais Lo Ch’ing, dans une traduction de Marie Laureillard.