Édito
La cuisine est langage
Le numéro 5 de Jentayu se consacre aux gastronomies et pharmacopées d’Asie : quand alimentation et santé font bon (ou mauvais) ménage dans les littératures d’Asie.
14 x 21 cm, 180 pages, ISBN : 979-10-96165-01-8
Un numéro consacré aux gastronomies et pharmacopées asiatiques : quand alimentation et santé font bon (ou mauvais) ménage dans les littératures contemporaines d’Asie.
Prix avec livraison comprise.
Le numéro 5 de Jentayu se consacre aux gastronomies et pharmacopées d’Asie : quand alimentation et santé font bon (ou mauvais) ménage dans les littératures d’Asie.
Auteur de la nouvelle Le mérou, le Singapourien O Thiam Chin parle de son processus d’écriture, des différences d’approche entre formes courtes et longues et des thèmes abordés dans son premier roman.
Un extrait de la traduction de la nouvelle Tuning et le tempeh de l’auteur indonésienne Ida Ahdiah, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Gérard Henry présente l’écrivain hongkongais Leung Ping-kwan et son œuvre, qui explore l’individualisme de l’homme moderne tout en mêlant intimement art et cuisine.
Vasumathi Badrinathan revient sur le livre Une nourriture sans dieux de l’auteur indien Shahu Patole, un livre sur les habitudes alimentaires des Dalits.
Originaire de Tianjin, au nord de la Chine, Feng Jicai est l’auteur de nombreuses nouvelles prenant pour cadre sa ville natale. Brigitte Duzan retrace les contours de son œuvre.
Un extrait de la traduction du poème Alcool fraîchement distillé du poète hongkongais Leung Ping-kwan, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Omar Musa est un des artistes les plus en vue de la scène hip-hop internationale. Rappeur, poète, romancier : le jeune Australo-Malaisien a plusieurs cordes à son arc. Retour sur son parcours.
Un extrait de la traduction de la nouvelle Sale Pluie de l’écrivain chinoise Zhang Yueran, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Un extrait de la traduction du poème Discours sur le porc de Leung Ping-kwan, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Annie Montaut revient sur le parcours de l’écrivain et journaliste indienne Mrinal Pande, dont elle a traduit un extrait du roman Devi, Tales of The Goddess in Our Time.
Coraline Jortay replace l’œuvre de Kan Yao-ming dans le contexte de la littérature taïwanaise contemporaine et nous décrit le parcours de cet écrivain d’origine hakka.
Un extrait de la traduction du poème Les trois tantes du poète thaïlandais Romana Rocha, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
Brigitte Duzan retrace la trajectoire de l’écrivain chinois Cao Kou, de ses années d’enfance jusqu’à la publication de ses derniers ouvrages, dont un recueil de xiao xiaoshuo.
Un extrait de la traduction du poème L’univers dans une tasse de thé du Thaïlandais V. Vajiramedhi, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue.
La Singapourienne Audra Ang aborde son expérience de journaliste en Chine et revient sur les raisons qui l’ont poussée à écrire son livre, To The People, Food is Heaven.
La photographe singapourienne Ore Huiying présente son essai Nous, les fermiers et les raisons qui l’ont poussée à documenter la vie de sa famille paysanne.
Patricia Houéfa Grange évoque le premier recueil de poèmes de Melizarani T. Selva, artiste de spoken word bien connue sur la scène malaisienne anglophone.
L’écrivain ouzbek Hamid Ismaïlov parle de son dernier roman Manastchi, du rayonnement de la littérature d’Asie centrale à l’étranger et de son intégration aux autres littératures du monde.
En bonus de lecture, Brigitte Duzan a traduit un court extrait de La capitale déchue, le roman le plus célèbre de l’auteur chinois Jia Pingwa. Il y est question de thé…