Nazir Djouyandov est ouzbek et a commencé à traduire à un très jeune âge : à l’école maternelle, pour ses camarades qui ne comprenaient pas les dessins animés en russe. Après des études en sciences sociales à Moscou, il a décidé de rester en Russie, où il travaille maintenant comme manageur. Il continue à traduire entre trois langues : ouzbek, russe et anglais. Son but est de faire connaître la littérature ouzbèke contemporaine qui reste méconnue en dehors de ses frontières car peu traduite.
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