Irène Imart s’est rapidement tournée vers la traduction après des études d’allemand à la Sorbonne et de russe à l’Inalco. Dans un premier temps, elle a travaillé essentiellement dans le domaine du sous-titrage, de la musique avec des traductions de textes chantés et de livrets d’opéra, et des beaux-arts (catalogues d’exposition). Ces dernières années, elle a eu l’occasion de traduire plusieurs textes littéraires aux éditions Alidades (Thonon-les-Bains). Elle essaie, par ailleurs, de proposer à la publication des textes qui l’ont frappée par leur intensité et leur originalité. Ainsi une pièce de théâtre, Une nuit étouffante, du dramaturge russe Ilya Chlaki, établi en Allemagne, de courts récits pour enfants, Mon chien aime le jazz de Marina Moskvina et le roman Le Cobra d’Ak Welsapar, auteur turkmène exilé en Suède.
En lien avec Irène Imart :
Dans notre numéro 10, Ak Welsapar aborde la genèse de son roman Le Cobra, son statut d’auteur exilé de longue date en Suède, et la question de la traduction de ses propres œuvres…. Lire l’entretien