Note de lecture
Trois jours, quatorze nuits
Brigitte Duzan nous présente l’écrivain Feng Tang, trublion des lettres chinoises et auteur d’une trilogie romanesque aux deux premiers volumes traduits par Sylvie Gentil.
Un numéro consacré aux relations amoureuses, superficielles ou profondes, à la sensualité et à l’érotisme tels qu’ils sont vécus et écrits aujourd’hui à travers l’Asie, dans toute leur diversité, leur complexité… et leur ferveur.
Brigitte Duzan nous présente l’écrivain Feng Tang, trublion des lettres chinoises et auteur d’une trilogie romanesque aux deux premiers volumes traduits par Sylvie Gentil.
La jeune artiste de spoken word Mae Yway est sur tous les fronts en ce moment. De Rangoon à Rotterdam, elle incarne la nouvelle scène poétique birmane, entre féminisme et nihilisme.
L’universitaire portugaise Ana Margarida Ramos analyse pour nous l’œuvre du poète timorais Fernando Sylvan selon le contexte de la poésie lusophone du XXe siècle.
Amanda Sherpa-Atlan nous présente l’écrivain népalais Samrat Upadhyay, auteur du recueil The Royal Ghosts, duquel est tirée la nouvelle éponyme publiée dans nos pages.
Brigitte Duzan retrace pour nous le parcours de l’écrivain chinoise Ren Xiaowen, nouvelliste et romancière reconnue, mais aussi femme d’affaires accomplie.
La photographe bangladaise Shahria Sharmin présente son essai Appelez-moi Heena et les raisons qui l’ont poussée à documenter la vie des hijras d’Inde et du Bangladesh.
Bertrand Mialaret replace l’œuvre de Guo Songfen dans le contexte de la littérature taïwanaise contemporaine et nous décrit le parcours de cet écrivain longtemps exilé aux États-Unis.