Hélène Morita a suivi des études d’histoire de l’art, de chinois et de lettres. Alors qu’elle vivait au Japon, où elle enseignait la littérature française, elle a commencé à explorer le monde de Kenji Miyazawa, écrivain du début du XXe siècle considéré comme auteur classique par les Japonais – cependant, encore inconnu pour les lecteurs francophones. Pour sa traduction de Train de nuit dans la Voie lactée de Kenji Miyazawa, elle a reçu le Prix Shibusawa-Claudel en 1990. Depuis 2007, elle traduit Haruki Murakami et veille toujours à mettre en lumière des chefs d’œuvre de la littérature japonaise classique.
Parmi ses traductions :
En lien avec Hélène Morita :
Un extrait de la traduction de l’essai « Une marche jusqu’à Kobé » de Haruki Murakami, à découvrir dans son intégralité dans les pages de la revue… Lire l’extrait
Dans notre numéro spécial Covid-19, la traduction par Hélène Morita du poème « Que la pluie ne m’abatte » de l’auteur japonais Kenji Miyazawa… Lire le poème